Butembo vibre sous la chaleur des préparatifs des échéances électorales projetées pour l’année 2023. Cette période semble réveiller des esprits endormis, surtout des politiciens conscients de leur non élection ou l’impossibilité de leur réélection. Certains d’entre eux avaient récolté des scores quasi-nuls aux élections passées et ne savent pas s’y prendre. Les autres sont présents au sein de l’Assemblée Nationale mais ils sont totalement conscients de leur bilan pas même mitigé, mais nul. C’est ainsi qu’ils créent des groupes « béquilles » avec comme mission principale la déstabilisation de la Véranda Mutsanga ou la manipulation de l’opinion par des messages mensongers ou injurieux contre la personne des Honorables Tembos Yotama et Mbenze Yotama, occupant ces jours le top de députés actifs de la législature en cours. Heureusement pour les deux élus frères de sang, leur lutte et leur idéologie sont déjà acceptées par la population.
La Rédaction de la Véranda Mutsanga se réserve le droit de publier prochainement les nomes des détracteurs qui salissent son image. Mais ceux qui doivent se sentir interpelés, sans que personne ne le leur demande, sont sur une liste de la Véranda Mutsanga et toutes les fondations et associations soutenant l’idéologie et les actions parlementaires de ces deux élus.
Le premier qui est mis en garde, c’est le patron du mouvement bidon appelé Anti-gang. L’opinion sait très pertinemment que c’est un cadre du PPRD et qui est membre de l’équipe civile de la Mairie mise en congé pour raison de l’Etat de siège. Lui et son entourage ne sachant pas comment procéder pour revenir dans l’opinion publique essayent de clasher la Véranda Mutsanga et son leader, l’Honorable Tembos Yotama. Il sait que c’est une guerre perdue d’avance car la Véranda Mutsanga, qui a adopté une face de la lutte politique, n’acceptera jamais que des « vas-nus-pieds » s’amusent dans sa platebande chèrement conquise et conservée. La Véranda Mutsanga a tout ce qu’il faut pour dépiécer ce fameux groupe antigang qui, du reste, est une coquille vide faite uniquement des inciviques.
Le deuxième est un membre de la communauté de Furu. Après avoir échoué aux élections, il est inquiet du fait que ses anciennes ouailles l’aient quitté pour s’allier et faire allégeance à la Véranda Mutsanga et aux députés les plus aimés de Butembo, Mbenze Yotama et Tembos Yotama, pour leurs actions concrètes visant le bien de la population. Il essaie de contredire les vérités vraies que la Véranda Mutsanga met à la disposition du public. Dieu merci, ses réactions n’ont pas d’impact car ne jouant qu’à la défensive communicationnelle et la population est bien au courant des divisions qui caractérisent, depuis un moment, le microcosme politique actuel dans le Furu-Land, avec des divisions du groupe. Les choses s’annoncent donc très mal pour lui et ses acolytes dès lors que leur séparation douloureuse profite au « Mutetezi wa haki za binadamu hadi kaurini » (défenseur des droits de l’homme jusqu’en la tombe) via sa fondation et à son frère aîné, le combattant du peuple qui entretien de très bonnes et solides relations avec sa base électorale et sa base-arrière politique.
La Véranda Mutsanga détient également tout ce qu’il lui faut pour contrer ce jeune marié et dépiécer ses petites initiatives et entreprises s’il continue de se mêler dans le petit carré de la Véranda Mutsanga surtût qu’il est dans de sales draps dans sa propre cellule qui ne l’accepte pas comme leader.
Le troisième est un « néophyte » politicien, député provincial. Le fait d’infiltrer les combattants de la Véranda Mutsanga pour les manipuler et essayer, sans y arriver, de les monter contre leur propre maison pourra lui couter très cher, jusqu’à perdre la petite tolérance et la pitié que la Véranda Mutsanga lui accorde encore. Mais le fait de s’amuser à jouer dans les plates-bandes chèrement conquises peut lui être fatal.
La Véranda Mutsanga a tout ce qu’il faut sur le plan technique, stratégique, opérationnel et idéologique pour le mettre hors d’état de nuire et mettre à nul tous ses efforts.
En quatrième position, il y a un groupe de politiciens qui dans les radars de la Véranda Mutsanga puisqu’ils essayent, sans pour autant y arriver, de ronger la Véranda Mutsanga par son intérieur. Les brebis galleuses sont déjà identifiées et le mal a été étouffé dans son œuf. Les « mauvais disciples » sont dans les collimateurs de l’équipe mise sur pied pour cette fin exclusivement afin de surveiller leurs mouvements, faits et gestes, être aux aguets et riposter proportionnellement à la menace.
La riposte « robuste »
La Véranda Mutsanga rappelle qu’elle a été conçue, consolidée pour faire face à toute sorte de menaces de toutes les tailles. Elle n’acceptera jamais laisser partir en fumée tous les efforts déjà fournis pour faire réélire deux députés ou même trois dans cette ville (ce qui est très possible avec les stratégies et mécanismes mis en place).
D’où une mise en garde très sévère envers tous les hommes politiques et autres ambitieux à se réserver de s’attaquer à la Véranda Mutsanga et son leader politique, s’amuser à jouer sur les plates-bandes conquises et s’ingérer dans les affaires internes sous peine de subir un feu irrésistible et interminable jusqu’à leur fuite.
La Véranda Mutsanga est un groupe de personnes cultivées, civiques, respectueuses des lois et textes et non des malfaiteurs.
Léonce Akilimali
Porte-parole de la Véranda Mutsanga